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Interpol Officiel

29 juin 2011

Interpol : Serena Reinaldi remplace Corinne Touzet

serena-reinaldi-2810162cqgui_1759Interpol : Serena Reinaldi remplace Corinne Touzet

16 juin 2011 - 17h35 par Eliane DA COSTA

avec

Alors que Corinne Touzet vient d'annoncer qu'elle quittait Interpol, le Parisien révèle que le producteur de la série lui a déjà trouvé une remplaçante en la personne de Serena Reinaldi, grande gagnante de Nice People.

Après une saison au générique d'Interpol, Corinne Touzet a finalement décidé de quitter la série, son rôle ne correspondant plus tellement à ses attentes : "Je voulais que mon personnage soit sauvage et secret. Là, on est revenu à un schéma plus classique, très centré sur l'enquête", a confié la comédienne au magazine TV Magazine.

 

Que les fans de la série se rassurent, le Parisien vient de révéler que le producteur d'Interpol lui a d'ores et déjà trouvé une remplaçante : la pétillante Serena Reinaldi, la grande gagnante de Nice People, diffusé sur TF1 en 2003. Si ce choix peut en étonner plus d'un, il n'est pourtant pas surprenant. En effet, depuis qu'elle a remporté l'émission de téléréalité européenne de la une, la belle italienne a été à l'affiche de nombreuses pièces de théâtre comme Décalage Lombaire, Les demoiselles d'Avignon ou encore Ciao Amore.

 

Toujours selon le Parisien, la comédienne est déjà en Espagne où sont tournés actuellement les épisodes de la saison 3. En attendant de découvrir les premiers pas de Serena Reinaldi dans Interpol, les fans de la série pourront voir les nouveaux épisodes de la saison 2 les jeudis 16 et 23 juin prochains, à partir de 20h45 sur TF1.

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29 juin 2011

"Interpol": Marc Grosy nous parle de son personnage

 

interpol-10464650wqkkp_1759"Interpol": Marc Grosy nous parle de son personnage

 

24 mai 2011 - 16h31 par Haniel BELLAHSEN

 

Après le succès de l'épisode pilote, la série INTERPOL dévoile six nouvelles enquêtes autour du monde. Le tandem de choc composé de Verneuil (Corinne Touzet) et Kieffer s'est transformé en trio, grâce à l'arrivée du policier Marciano (Thomas Cerisola) dans l'équipe de terrain. De nouveaux liens vont donc se créer. Marc Grosy nous parle de son personnage, le capitaine Kieffer, un homme imposant qui peu à peu se dévoile. JEUDI 16 JUIN à 20:45

 

Comment êtes-vous arrivé sur ce projet ?

 

Une nouvelle série se lançait avec trois protagonistes principaux : Verneuil, Marciano et Kieffer. Je me suis rendu au casting pour le rôle de Marciano, la production m'a finalement attribué celui de Kieffer. Pourtant, elle envisageait au départ un acteur de type métropolitain d'une cinquantaine d'années pour l'incarner : à l'opposé de moi !

 

Pourriez-vous nous parler de votre personnage ?

 

Le capitaine Kieffer est marié depuis une quinzaine d'années et père de deux enfants. En conséquence, chaque disparition impliquant des familles le touche, même s'il ne le montre pas. Très rigoureux dans son travail et très direct, il apparaît parfois comme psychorigide. Il ne me ressemble pas du tout ! Cette maîtrise de soi si difficile à acquérir dans la vie est d'ailleurs très plaisante à jouer.

 

Comment évolue-t-il dans ces nouveaux épisodes ?

 

Il se dévoile. Nous voulions l'alléger, le rendre moins rigide. Il est l'image d'Interpol, cependant, il enlève parfois son «costume» avec certains témoins et leur parle en ami. Sa relation avec Marciano évolue également. Kieffer est touché par le divorce de son collègue, ils vont devenir amis.

 

Avez-vous des souhaits particuliers pour la suite ?

 

J'aimerais que le physique soit d'avantage mis en avant grâce à plus d'action : des scènes de bagarres et des cascades !

 

Interpol vous a fait voyager cette saison : Barcelone, Stockholm, Le Caire...

 

Kieffer est parti en mission à chaque épisode, excepté celui qui se déroulait en Belgique. J'ai été privilégié, même si l'équilibre avec les autres acteurs devrait se rétablir à l'avenir. Je garde de très beaux souvenirs de mes rencontres avec les comédiens de chaque pays. Nous avons la chance de tourner avec des personnes de qualité, à l'étranger comme en France. Pour la suite, j'aimerais beaucoup qu'Interpol se déplace aux Antilles et en Afrique.

 

 

 

Quelles sont les forces de cette série ?

 

Les voyages, tout d'abord. Chaque épisode propose des enquêtes à l'étranger tout en bénéficiant d'un point d'ancrage à Lyon, ville du siège d'Interpol. Ensuite, l'écriture favorise la personnalité des héros, leur vie privée, afin que le téléspectateur puisse s'attacher à eux et pas seulement à l'enquête. Interpol est également une série authentique proche de la vie. Les histoires ne finissent pas toujours bien, sinon ce serait ennuyeux !

 

Interpol fait honneur à la diversité à l'écran, notamment grâce à votre rôle.

 

La diversité existe dans notre pays. Elle doit donc être représentée à la télévision, sans pour autant être systématique bien sûr. Elle reste cependant nécessaire. Interpol respecte cette diversité à travers ses protagonistes, leurs rapports et le respect mutuel qui en découle. Je trouve que ce choix est le bon et j'espère que cela va continuer.

 

Corinne Touzet a annoncé qu'elle quittait la série. Comment gérez-vous son départ ?

 

Cela me touche, nous avions créé des liens professionnels et amicaux. Néanmoins, Interpol est une série chorale où l'équipe est le véritable personnage principal. Personne n'est mis en avant. Une nouvelle comédienne devrait la remplacer, le trio devrait donc perdurer puisqu'il fonctionne. En tout cas, je me sens bien dans cette configuration.

 

29 juin 2011

"Interpol", le capitane Marciano: un vrai flic au coeur tendre

interpol-10464655ooqbb_1759"Interpol", le capitane Marciano: un vrai flic au coeur tendre

24 mai 2011 - 16h20 par Haniel BELLAHSEN

Désormais, l'équipe d'INTERPOL bénéficie de l'expérience du policier Marciano, recruté pour rejoindre la brigade à la fin de l'épisode pilote. Thomas Cerisola nous présente son personnage, un vrai flic au coeur tendre marqué par des blessures enfouies. jeudi 16 juin à 20h45.

 

Qui est Marciano ?

Mon personnage se prénomme Innocenzo, un prénom assez ironique pour un flic. Son nom de famille, Marciano, m'évoque la planète Mars, certainement à cause de son coté décalé... Il est à l'origine policier de terrain, à la SRPJ de Bourgoin-Jallieu. Lors d'une enquête dans l'épisode pilote, il rencontre les agents d'Interpol et les séduits. Il est ensuite intégré à l'équipe. Cela ne change pas vraiment son comportement, même s'il s'habille un peu mieux désormais !

Qu'est-ce qui vous a séduit en lui ?

Il a un côté chien fou et m'évoque des personnages de cinéma que j'aime beaucoup, comme ceux par exemple incarnés par Al Pacino. Il est à la fois «cabossé» et tendre. C'est autant un policier qu'un justicier : il veut la vérité.

Va-t-il se dévoiler ?

On en découvre un peu plus sur sa vie intime, notamment sur son enfance et l'origine de ses blessures. Entraperçu dans le pilote, l'humour a également été développé chez Marciano. Il possède une certaine ironie tendre, cette qualité était d'ailleurs très importante à mes yeux.

Votre personnage est-il parti enquêter à l'étranger ?

Marciano s'est rendu en Allemagne et en Belgique. Il s'est moins déplacé que ses collègues, sans doute car il est nouveau à Interpol. Je suis certain cependant qu'il aimerait bien découvrir le monde !

Quels souvenirs gardez-vous de ces tournages ?

L'équipe est formidable. Les conditions l'étaient également. Nous tournions vite mais cela ne me gène pas. J'ai la chance d'interpréter un rôle récurrent dans une série bien produite : je ne suis vraiment pas à plaindre !

Quelles spécificités différencient Interpol des autres séries policières françaises ?

La série bénéficie d'une esthétique assez «high-tech», elle se rapproche en cela des productions américaines. Elle met également en scène un héros à la peau noire (Marc Grosy) et c'est une très bonne initiative. Grâce à ce choix, Interpol modernise l'image des fictions françaises à la télévision.

La série vous laisse-t-elle du temps pour d'autres activités ?

Mon rôle dans Interpol me permet de tenter en parallèle des expériences un peu plus alternatives. Je viens de finir un spectacle à des années-lumière de Marciano : du théâtre expérimental dans un atelier de sculpture. Je prépare également un album avec mon groupe de folk blues, Je suis un cerf.

29 juin 2011

Un rôle nouveau pour Corinne Touzet

interpol-4486415btzjx_1759Un rôle nouveau pour Corinne Touzet

10 mai 2010 - 17h00par Emmanuelle Papin - TF1

Corinne Touzet campe le capitaine Louise Verneuil, une femme chargée, au sein d'Interpol*, de rechercher des personnes disparues à l'étranger. Dans cet épisode pilote, elle tente de retrouver deux enfants enlevés par leur père d'origine italienne.

 

Comment définiriez-vous Louise Verneuil ?
Très intuitive, Louise observe énormément. Elle a beaucoup d'instinct, un instinct presque animal. J'ai d'ailleurs proposé que le loup soit son animal totem et, en signe de clin d'œil, je porte un tee-shirt à l'effigie de cet animal dans la première scène du  film... un cadeau de la styliste. Ce personnage possède de vraies failles et porte comme un fardeau une affaire de petite fille disparue qu'elle n'a jamais réussi à résoudre. Très douce, elle sait également se montrer extrêmement ferme. Représenter la force publique signifie posséder une autorité naturelle et, en tant que capitaine, Louise sait dégager de l'autorité et inspirer le respect. 

Pourquoi avoir accepté ce projet ?
Je suis actuellement au théâtre dans Personne n'est parfait, un très grand succès. Mais j'ai arrêté la série Une femme d'honneur il y a deux ans et ce rendez-vous régulier avec le public commençait vraiment à me manquer. J'ai aussi accepté ce film parce qu'il traitait d'Interpol ! Cet organisme est une sorte de mystère, une entité méconnue. Me retrouver dans cet univers secret était passionnant. Nous connaissons tous les avis de recherche Interpol** et quand un enfant disparaît dans le monde, c'est à ce service que l'on fait appel. Or, ce domaine me touche particulièrement car je m'occupe depuis longtemps de la protection enfantine. 


Vous revenez à un rôle d'agent de la force publique. Pourquoi ce choix et quelles sont les différences avec votre rôle d'adjudant-chef de gendarmerie dans Une femme d'honneur ?
Trois caractéristiques de Louise sont totalement à l'opposé de mon rôle dans Une Femme d'honneur. D'abord, en tant qu'agent d'Interpol, mon personnage a la possibilité de voyager et d'intervenir dans n'importe quel pays, à l'inverse de la police ou de la gendarmerie. La chaîne tient d'ailleurs à développer cette notion de missions à l'étranger dans les prochains épisodes, actuellement en écriture. Le second élément concerne la féminité assumée de mon personnage. Sur la Femme d'honneur, montrer cet aspect  me faisait peur : porter un uniforme, de surcroît pour une femme, est très impressionnant et m'empêchait de jouer sur la gamme de la séduction. Avec Interpol, je vis comme une libération le fait d'être en civil et cela me permet d'aller vers des univers que je n'avais pas encore osé développer à la télévision : pour une fois, mon personnage est sensuel. Troisième point, j'aimais l'idée de former, au sein de cette structure qu'est Interpol, une équipe avec des personnes extrêmement différentes les unes des autres. Les membres de la gendarmerie nationale vivent ensemble, en caserne, dans une ambiance très familiale. Dans Interpol, c'est totalement l'inverse. 


Ressemblez-vous à votre personnage ?
J'adore peindre, comme mon personnage. Grâce à cette activité, Louise sort du stéréotype du flic pur et dur ! Nous partageons aussi ce même instinct animal : j'ai parfois des intuitions très fortes. Je peux ressentir le danger ou la négativité chez certaines personnes. Nous sommes également secrètes et sauvages toutes les deux et nous avons en commun une indépendance et une liberté que j'ai toujours prônées chez les femmes. Ce rôle me permet de parler des femmes d'aujourd'hui et de leurs relations avec les hommes. 


Pour préparer votre rôle, avez-vous rencontré des agents d'Interpol ? Le film retranscrit-il la réalité de cet organisme ?
Dès le départ, le metteur en scène et moi-même avions besoin de savoir où et comment les agents d'Interpol travaillaient. Malheureusement, au début, nous n'avions aucune autorisation pour accéder à cette agence. Lorsque les patrons de cet organisme ont finalement compris que la production voulait faire les choses dans le respect de leur activité, le réalisateur a eu le droit de réaliser quelques images sur le site afin d'en imprégner le scénario en cours d'écriture. Enfin, pendant le tournage, j'ai moi-même eu la possibilité de me rendre, en compagnie du metteur en scène, dans les bureaux d'Interpol, à Lyon, afin d'y rencontrer le personnel. Tous les agents sont très secrets, tous derrière leur ordinateur, dans leur bureau. Ils sont pour la plupart étrangers et parlent plusieurs langues. La chaîne a d'ailleurs voulu être au plus proche de la réalité et, même si cette spécificité n'est pas utilisée dans ce premier épisode, mon personnage parle quatre langues. Côté décor, des écrans sont installés partout : là encore, nous avons rendu cette réalité dans le film, très largement inspiré des locaux. 


Le film possède des images époustouflantes de Lyon et de ses environs vues du ciel. Un mot sur le réalisateur, Eric Le Roux ?
La facture d'Interpol est très moderne, dans le cadrage et la réalisation. La lumière est très chaude, ce qui donne une ambiance particulière. Eric Le Roux est steady camer de formation, ce qui explique ces images. Cet instrument m'a toujours fascinée car il offre une fluidité extraordinaire. 

Quelle était l'ambiance sur le tournage ?
Elle était super ! Lyon est une très belle ville que je connaissais peu. Nous étions dans le vieux Lyon, absolument magnifique, et j'ai été très agréablement surprise par la beauté des lieux. Nous avons tous énormément travaillé pour cet épisode pilote, avec beaucoup d'énergie. 


*Interpol est la contraction des mots anglaisInternational Police. Son nom français  officiel est  Organisme International de police criminelle-Interpol(OIPC-INTERPOL). Créé en 1923, sa mission consiste à organiser la coopération policière internationale entre les 188 pays actuellement membres. Véritable plateforme internationale, Interpol possède des moyens techniques et logistiques à la pointe qu'aucune police nationale n'a à disposition. En France, son siège est à Lyon depuis 1989. 
**Interpol a lancé en mars dernier un site internet regroupant les avis de recherche de pédophiles présumés lancés par les polices nationales des pays du G8 (Etats-Unis, Canada, France, Italie, Japon, Royaume-Uni, Allemagne et Russie). Ces avis sont accessibles via la page d'accueil d'Interpol :www.interpol.int 

29 juin 2011

Capitaine Innocenzo Marciano

interpol-10348827jhxfx_2006Capitaine Innocenzo Marciano - Interpol

Issu d'une famille d'origine piémontaise immigrée en France, Innocenzo est le cadet d'une fratrie de trois garçons, dont l'aîné, Nino, est décédé tragiquement alors qu'il n'était encore qu'un enfant. Innocenzo a toujours pensé que sa mère aurait préféré qu'il meurt à la place de son grand frère, et il a nourri un sentiment de décalage et d'outsider pendant longtemps (on le charriait souvent pour son prénom singulier), voire de fils négligé par ses parents. Le capitaine Marciano est un flic à l'écoute, même si parfois il estime qu'il faut un peu secouer son interlocuteur pour mieux lui faire accoucher de son drame personnel. C'est un écorché vif aussi bien capable de s'emporter que de faire preuve de douceur et d'empathie.

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29 juin 2011

Capitaine Antoine Kieffer - Interpol

interpol-10348826fwwre_2006Capitaine Antoine Kieffer - Interpol

Intransigeant avec la légalité, il incarne l'objectivité et le pragmatisme. Dans toute affaire de disparition, il considère toujours tout le monde comme un potentiel suspect, de la même manière qu'on l'a considéré, lui, pendant toute son adolescence. La rigidité de ses méthodes attire parfois les taquineries de Marciano, dont les méthodes sont si différentes.

Pour autant, Kieffer n'est pas le moins gai de l'équipe : il peut s'avérer plaisant et drôle quand il veut. Son charisme naturel lui confère une place de choix aux yeux de ses collègues.  

29 juin 2011

Capitaine Louise Verneuil

interpol-10348825namij_2006Capitaine Louise Verneuil - Interpol

Louise est sensible et empathique dans son travail au sein d'Interpol. Dans sa vie privée toutefois, elle a beaucoup de mal avec l'affectif et les émotions. Elle n'a pas réussi à éviter un divorce précoce avec un homme qu'au fond elle n'a jamais vraiment oublié (mais lui a-t-elle seulement dit ?) et elle entretient des relations conflictuelles avec sa fille de 18 ans, Léa, qui lui reproche de n'avoir pas su retenir son père et qui est partie étudier à l'étranger.

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